Nous vous proposons d’en découvrir plus sur Lutz Jumping Horses partenaire de longue date d’Equi Book au travers d’un publireportage.

Les débuts

Lutz Jumping Horses existe depuis une dizaine d’années, lorsque Patrik Lutz décide de donner plus de place à ses activités de commerce : « Tous les cavaliers ont besoin de commerce pour être rentables, explique-t-il. Ma situation familiale avait changé puisque Charlotte et moi venions de nous marier puis d’avoir notre fille, et que je voulais avoir du temps à lui accorder. C’est une transition qui s’est naturellement opérée : je montais moins, me suis rendu compte qu’en montant moins je vendais plus, donc on a aussi pu investir plus. »

Famille Lutz 2020 ©️ Charlotte Dislaire Photography

A l’heure actuelle, une vingtaine de chevaux portent les couleurs de LJH. « Nous louons une écurie chez Frantz Ducci, où mon épouse Charlotte gère 6 chevaux. Nous collaborons avec plusieurs cavaliers, notamment Bertrand Genin, qui est l’un des deux piliers de LJH  avec Charlotte. Nous travaillons aussi entre autres avec Louis Mahieu, Lola de Braekeleer, Jelle Limbourg en Belgique ainsi qu’avec Thibault Le Jeune et Clara de Keyser en France, mais la liste sera amenée à s’élargir à l’avenir. »

Des chevaux stars

Quel Homme de Hus et AD Camille Z sont sans doute les plus connus des chevaux dans la carrière desquels LJH a joué un rôle, mais ils ne sont pas les seuls à avoir brillé au plus haut niveau : « Parmi les chevaux passés par nos écuries, on peut citer Casper, un fils de Contender. Mes amis Richard et Andrew Bourns m’avaient demandé de leur trouver un cheval de Grand Prix. Quand je leur ai conseillé Casper, ils n’avaient pas le temps de venir l’essayer, mais ils m’ont fait confiance et l’ont acquis. Il a ensuite participé au championnat du monde de Tryon en 2018 sous les couleurs néo-zélandaises. Une belle histoire ! »

LJH, en collaboration avec une partenaire de l’époque, a aussi joué un rôle dans la carrière de Faustino de Tili. Vainqueur du cycle à 7 ans en Belgique, il gagne de nombreuses épreuves sous la selle de l’Américaine Kristen Vanderveen, qui l’emmènera même jusqu’à la finale de Coupe du monde de Paris en 2019.

Charlotte Lutz et Corneska de la Falize Z © Pegasus Photo Creations 2021

Voilà pour les stars de LJH. Mais on ne résiste pas à l’envie de demander à Patrik Lutz d’évoquer les chevaux dont on devrait entendre parler dans les prochaines années : « Il y a Corneska de la Falize Z, compétitive en 4* avec l’excellent cavalier français Guillaume Foutrier, qui vient de faire sa première apparition en Coupe des Nations avec l’équipe de France et devrait rapidement briller en 5*, ainsi que Top of The Bill, également dans les écuries du Français et brillant dans les épreuves 7 ans à Lier cet automne. Je suis convaincu qu’on entendra aussi parler de Odin van’t Merelsnest, récemment vendu à l’écurie François Mathy. »

Charlotte Lutz et Odin van’t Merelsnest au CSI BORNIVAL 2022

Des chevaux d’avenir

L’histoire de LJH, ce n’est pas seulement une histoire de commerce. C’est avant tout de nombreuses histoires d’amitié avec d’autres marchands, d’autres éleveurs, d’autres cavaliers, désirant tous atteindre l’excellence. Et pour viser l’excellence, Patrik Lutz garde toujours en tête ce que les cavaliers de 5* désirent : « Les critères des cavaliers de haut niveau ont changé au cours de ces quinze dernières années. Avant, ils recherchaient un cheval avec tous les moyens. Aujourd’hui, ils veulent des chevaux avec la dernière qualité, auxquels ils donneront les moyens par leur travail. C’est l’évolution du sport qui veut cela. Par ailleurs, pour être compétitif en 5*, il faut beaucoup de qualités, mais tous les cavaliers ne savent pas gérer cela. Et comme nous ne vendons pas qu’à des cavaliers 5*, on recherche un bon package : qualité, moyen et la rideability (le confort comme le disent les Américains). »

Et le futur ?

En plus du commerce, LJH comprend une branche consacrée à l’investissement : Lutz Jumping Horses Invest. « Comme nous avions beaucoup de demande de privés pour investir dans les chevaux, nous avons mis sur pied une structure qui permet de garantir des arrangements en bonne et due forme. L’idée de base est de créer une société dont les actionnaires prennent des risques limités vu que la société est propriétaire de plusieurs chevaux. »

Côté sportif, Patrik Lutz entend désormais garder certains chevaux un peu plus longtemps, pour que son nom puisse grandir dans le sport, ainsi que donner plus de place à ses activités d’élevage. Autant dire que LJH a de belles cartes entre les mains !

Comino LJH (Cumano Alpha Z x Comme Il Faut) et sa mère Community LJH 2022

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